Jan Šinágl angažovaný občan, nezávislý publicista

   

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Citát dne

Karel Havlíček Borovský
26. června r. 1850

KOMUNISMUS znamená v pravém a úplném smyslu bludné učení, že nikdo nemá míti žádné jmění, nýbrž, aby všechno bylo společné, a každý dostával jenom část zaslouženou a potřebnou k jeho výživě. Bez všelikých důkazů a výkladů vidí tedy hned na první pohled každý, že takové učení jest nanejvýš bláznovské, a že se mohlo jen vyrojiti z hlav několika pomatených lidí, kteří by vždy z člověka chtěli učiniti něco buď lepšího neb horšího, ale vždy něco jiného než je člověk.

 


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„Lepší je být zbytečně vyzbrojen než beze zbraní bezmocný.“

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Jan Šinágl,
předseda SODALES SOLONIS o.s.

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Articles en français

Dans son rapport annuel sur la situation des droits humains au Maroc, Human Rights Watch (HRW) a critiqué vertement la dérive répressive de l’État. Un rapport qui ne manquera pas de faire réagir les pouvoirs publics. 

L’année 2020 a été marquée par une «répression contre des commentateurs des réseaux sociaux, des artistes et des journalistes exprimant des opinions critiques à l’égard de la monarchie», a indiqué  H.R.W. L’ONG a affirmé qu’avant même que les manifestations et les réunions publiques ne soient interdites afin de contenir la propagation du coronavirus, les autorités marocaines «avaient déjà interdit plusieurs rassemblements publiques des groupes d’opposition et continué d’entraver les activités de certaines organisations de défense des droits humains».

Fadil ImaneDans une émission télévisée italienne, Souad Sbai, journaliste et ancienne députée italienne, revient à la charge. Elle accuse publiquement l’ambassadeur du Maroc en Italie, Hassan Abouyoub, d’être impliqué dans le décès dans des circonstances étranges d’Imane Fadil, ex-mannequin marocain et l’un des principaux témoins dans l’affaire du Rubygate contre Silvio Berlusconi.

Souad Sbai pointe du doigt le silence, pour elle parlant et même en disant long, de Hassan Abouyoub en affirmant sur la chaîne italienne La7, et plus précisément dans l’émission « Non è l’Arena » : « Trente jours après la mort d’Imane Fadil, le silence de l’ambassadeur est anormal. Pourquoi, alors qu’il sait qu’un citoyen de son pays est mort, il ne décroche pas son téléphone ? Je ne comprends pas ». C’était ce 31 mars.

Cette dernière d’ailleurs indique qu’elle n’accuse ni l’ambassade du Maroc en Italie, ni les services secrets marocains : « Je n’ai pas parlé de l’ambassade du Maroc mais de l’ambassadeur. Il connaissait tant de jeunes femmes ». En outre, elle a déclaré : « Je n’ai jamais fait de déclarations sur les services secrets marocains et au sujet de la mort d’Imane Fadil j’ai simplement demandé au désormais ex-ambassadeur de s’engager pour la vérité et la justice ».

Facebook a mobilFacebook précise avoir, dans le cas français, supprimé 84 comptes, six pages, neuf groupes ainsi que 16 comptes Instagram.

* * *

Trois réseaux, dont un lié à l’armée française, ont été fermés par Facebook. Ils sont accusés de mener des opérations d’interférence en Afrique. A entendre désinformation… 

Facebook a annoncé mardi avoir supprimé trois réseaux, dont un lié à l’armée française, accusés de mener des opérations d’interférence en Afrique. Selon le réseau social, ils étaient gérés de France et de Russie. Deux réseaux de comptes ont été attribués à des personnes associées à l’Agence Russe de Recherche sur Internet et un troisième s’est avéré avoir «des liens avec des personnes associées à l’armée française», affirme Facebook.

Sollicité par l’AFP, l’état-major français n’a pas immédiatement réagi.

Ces réseaux visaient des pays du nord de l’Afrique et du Proche-Orient. Au sein de chacun d’eux, les participants usaient de faux profils, ce qui a poussé Facebook à sévir. 

Moulay el HassanLe prince héritier du Maroc, Moulay El Hassan, fils du roi Mohammed VI et de la princesse Lalla Salma, a un lourd fardeau, alors qu’il n’a même pas atteint la majorité.

Alors qu’il n’a que 17 ans, le prince héritier du Maroc, Moulay El Hassan, fait face à de lourdes responsabilités que le futur remplaçant du roi Mohammed VI devra assumer, sans quoi, il pourrait compromettre la stabilité de la famille royale. Entre autres, réussir la réconciliation entre sa mère, Lalla Salma, et sa tante, Lalla Hasnaa.

Voilà plus de deux ans que la famille royale marocaine est au cœur de toutes les attentions. Déjà que le Maroc a toujours attiré l’attention de l’Afrique et du monde entier, du fait notamment que ce pays, géré des mains de maître par le roi Mohammed VI, est au centre du dispositif continental sécuritaire. Le royaume étant au premier rang dans la lutte contre le terrorisme, certes, mais aussi un acteur principal dans le combat que mène l’Europe contre l’émigration clandestine.

Khalid Cherkaoui SemmouniKhalid Cherkaoui Semmouni, ex-président du Centre Marocain des Droits de l'Homme

Le Maroc commémore le 10 décembre de chaque année la journée internationale des droits de l’homme . Or , le 10 décembre 1948, les membres des Nations unies ont adopté la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, en s’accordant sur les principes permettant aux êtres humains de vivre dans la liberté, l’égalité et la dignité.

Le Maroc , qui a ratifié cette Déclaration, est engagé à respecter les principes des droits de l'Homme reconnus universellement . La question se pose : Où en est le Maroc ?